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Le blog de Roland - Algrange d'hier à aujourd'hui

La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

3 Février 2016, 07:15am

Publié par R.S.

De l'ancienne chapelle place du marché à la nouvelle église.  

- Nicolas VERNET: (de 1884 à 1899)

Arrivée du nouveau curé le 1er septembre 1884. C'est sous son administration que le 25 octobre 1885, à l'issue des vêpres de la paroisse, qu'a été béni solennellement par l'abbé NEUMANN de Hayange, et en présence de tous les paroissiens d'Algrange le nouveau cimetière de la paroisse.    
En 1888, au cours de la séance du dimanche de Quasimodo, après les vêpres, Monsieur le curé VERNET a entretenu le Conseil de Fabrique d'un projet de construction d'une nouvelle église, car l'ancienne manque de place, malgré les deux messes le dimanche. Monseigneur François-Louis FLECK, Evêque de Metz sollicita également le Conseil de Fabrique, demandant à la paroisse de construire une église plus vaste.    
Monsieur VERNET annonça que la commune, ne pouvant subvenir aux dépenses de la construction des écoles et de l'église, serait aidée financièrement par l'Etat. Mais des modifications furent demandées par le gouvernement impérial pour obtenir la subvention:
" Afin que la paroisse puisse obtenir la subvention du gouvernement, le plan initial de la nouvelle église catholique devrait être modifié ".  
Le ministère impérial:
 " proscrivait les trois nefs et la voûte, proposait une nef unique et large, un plancher avec traverses pour couverture "  ce qui revenait à faire de l'église une grande halle.  
Le Conseil de Fabrique répondit au Ministre impérial pour le remercier de sa bienveillance à venir en aide à la Fabrique mais qu'il maintiendrait le plan initial, et il se permettait de faire observer:
" Que les principaux souscripteurs ne verseraient leurs dons que sous réserves d'acceptation du plan initial,
Que le village se développait de plus en plus, et qu'il était donc convenable de le doter d'une église qui répondit à l'importance de la population,
Que malgré les impôts, déjà lourds, la population et la communauté ne reculaient pas devant de nouveaux sacrifices et qu'ils seraient très affectés si le gouvernement ne leur accordait pas ce qu'il donnait aux autres villages ".
De généreux donateurs se manifestèrent; DE WENDEL & Cie, Madame la Baronne De l'Espée de Metz, les trois sociétés minières d'Algrange:
" Il faudrait organiser des collectes, solliciter des dons des paroissiens et faire des économies sur le revenu ordinaire de la Fabrique."
Le plan et le devis initial établis par Monsieur Conrad WAHN, architecte à Metz, s'élevaient à 80.000 marks, mais ils furent ramenés à 75.000 marks.

 

La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

Avant la construction de la nouvelle église, chacun se posait la question du devenir de l'ancienne chapelle (place du marché), que se soit la commune, le conseil de fabrique de la paroisse ou encore l'Evêché..... Voici une des lettres de mes archives d'une discussion entre le curé de la paroisse, M. VERNET et l'Evêché, Monseigneur François-Louis FLECK, Evêque de Metz......

Lettre datée du 7 février 1891Lettre datée du 7 février 1891
Lettre datée du 7 février 1891Lettre datée du 7 février 1891

Lettre datée du 7 février 1891

Le 14 décembre 1890, l'Evêché de Metz approuva la décision du Conseil de Fabrique. Le 17 mai 1891, vu l'augmentation rapide de la population suite à l'ouverture des mines d'Algrange, la Fabrique décida d'agrandir l'église d'environ 4 mètres, jugeant que le chœur et les petites chapelles étaient trop petites.

Ainsi débuta en 1891 la construction de la nouvelle église catholique Saint-Jean Baptiste d'Algrange. De style gothique, elle fut achevée en 1892. La somme de 75.000 marks, prix de la construction, fut acquise grâce, aux dons, aux quêtes des paroissiens, à de généreux donateurs, à une subvention communale et à l'aide des sociétés minières d'Algrange et de la maison De WENDEL & Cie de Hayange. Un contrat fut établi en juillet 1892 avec Isidore LALLEMAND, menuisier à Huting, pour la fourniture des bancs de la nouvelle église.

La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

Consécration de la nouvelle église saint Jean-Baptiste:  

Extrait des archives de Monsieur l'abbé VERNET:
" La veille de la consécration de l'église, le 11 octobre 1892, Monseigneur François-Louis FLECK, Evêque de Metz, accompagné par Monseigneur Louis WILLEUMIER, vicaire général, vint à Algrange. Sa Grandeur était attendue pour cinq heures du soir, mais déjà après quatre heures, son arrivée était signalée.
La cavalerie qui devait se porter au devant de sa Grandeur jusqu'à Hayange, aborda déjà la voiture épiscopale à l'entrée de Knutange. Monseigneur vint donc nous surprendre au milieu de nos préparatifs de réception. Dans cette même soirée, la Société de chants vint honorer Monseigneur par un beau morceau de chant, exécuté dans la cour du presbytère. Le Conseil de Fabrique et le Conseil municipal vinrent également présenter leurs hommages à Monseigneur."
Et, le 12 octobre 1892, Monseigneur François-Louis FLECK, Evêque de Metz, consacra solennellement la nouvelle église de la paroisse d'Algrange, dédiée à saint Jean-Baptiste. (date à vérifier)
Extrait du Journal Le Lorrain daté du 25 octobre 1892

Extrait du Journal Le Lorrain daté du 25 octobre 1892

Le 4 décembre de l'an de grâce 1892, jour de la fête de la sainte-Barbe, l'abbé Jean-Nicolas VERNET, curé de la paroisse, autorisé par Monseigneur FLECK, Evêque de Metz, bénit une nouvelle cloche, fournie par les ouvriers de la paroisse, elle eut comme nom BARBE et avait un poids de 440 kg.  
En 1894, le Conseil de Fabrique acheta l'orgue de l'église de Hayange, en passant un contrat d'achat avec la maison DALSTEIN-HAERPFER, qui était facteur d'orgues à Boulay et propriétaire de l'orgue. Aucune subvention ne fut accordée pour l'acquisition de vieilles orgues. Il fallut faire appel à des dons et des quêtes pour assurer son financement. Les collectes et les dons s'élevèrent à 31.900 F. Le coût des travaux était de 31.287 F.
En 1893-1894, il y eut également l'érection des confessionnaux et de la chaire à prêcher. Une verrue vint s'ajouter sur le côté droit pour y faire un escalier en colimaçon (en dur), ce qui obstrua une partie de vitrail et de la décoration.....
En 1896, le Conseil de Fabrique décida de l'érection de deux stalles, dans l'avant chœur de l'église pour les membres de ce même Conseil, qui avaient le droit à un banc particulier.
En 1897, le Conseil décida du choix d'un " garde suisse " pour maintenir l'ordre au fond de l'église et surveiller les enfants. Je n'ai pas le nom des premiers mais les derniers Suisses en fonction à l'église d'Algrange furent:
  • Les frères ZILLIOX (Albert démissionnaire en septembre 1944 et Louis)
  • Théophile RUCIN
  • Théodore WAGNER.
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918
Le 4 juin 1898, eut lieu la bénédiction par l'abbé SCHARFF, curé de Knutange et l'abbé VERNET, curé d'Algrange, du premier haut-fourneau ainsi que de toutes les installations de la Société des Hauts-fourneaux lorrains: Aumetz-La Paix. (Friede)
Le 8 septembre de la même année, l'abbé VERNET bénit le deuxième haut-fourneau du site Aumetz-La Paix. La mise à feu fut faite par M. Maurice KUNTZLER de Nancy.
La construction d'un nouveau presbytère avait été demandée par l'abbé VERNET. Avant son départ, il reçut une lettre du Ministère du culte d'Alsace-Lorraine, datée du 9 juillet 1899, déclarant qu'il n'accorderait qu'une subvention de 6000 marks sur les 12.000 marks demandés pour la construction.
Il ne put être là, lors de son inauguration en mai 1902.
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

- Pierre Mathias LAY: (de 1899 à 1915)

Arrivée de Pierre Mathias LAY, qui fut nommé curé desservant de la paroisse d'Algrange, le 10 décembre 1899. (il était prêtre-médecin, anciennement curé de Sorbey) Il y restera jusqu'à sa mort. (le 14 juin 1915)
En 1900, l'équipe sacerdotale était composée de l'abbé Pierre Mathias LAY, arrivé le 28 novembre 1899 et de l'abbé Nicolas-Joseph JAGER nommé 1er vicaire le 22 juillet 1900 . Ce dernier partira en 1906.  
Le 16 septembre 1900, le Conseil de Fabrique demanda aux Vicaires Capitulaires un titre de vicaire pour la paroisse: (troisième prêtre)
" Vu l'accroissement rapide de la population (5.230 âmes), accroissement résultant de l'extension extraordinaire de l'industrie métallurgique et des mines…"  
Le Conseil s'adressa aux vicaires Capitulaires car le siège épiscopal était vacant du 27 octobre 1899, date du décès de Monseigneur François-Louis FLECK, jusqu'au 21 septembre 1901, date à laquelle fut nommé et consacré Monseigneur Willibrord BENZLER.
Ce même jour, le curé soumit au Conseil de Fabrique une délibération du Conseil municipal demandant l'érection de la paroisse Succursale en cure de première classe, pour les mêmes raisons. (accroissement de la population) En 1902, le Conseil de Fabrique et le Conseil municipal obtinrent enfin gain de cause:
le 12 février 1902, la Succursale d'Algrange fut érigée en cure de première classe de l'archiprêtré de Hayange.
  • le 24 mars de la même année, Monseigneur Willibrord BENZLER accorda un titre de 2ème vicaire à la paroisse et nomma un second vicaire, en la personne de l'abbé Jean HILT de Forbach. Celui-ci partit en 1906 d'Algrange.
  • Le 28 avril 1902, l'abbé Pierre Mathias LAY, curé desservant, est nommé curé de la paroisse.
Le nouveau presbytère, sur la gauche de l'église, commencé en 1899, fut inauguré en 1902. Le 19 avril 1903, la Fabrique décida de la construction d'une nouvelle sacristie du côté sud de l'église, la première, du côté nord, étant trop étroite pour 3 prêtres.
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

En 1904, on décida de la démolition de l'ancienne église rue saint Jean et du vieux cimetière aux abords de l'actuelle place du marché. (les ossements furent regroupés dans le nouveau cimetière)

 

Au centre au-dessus du G de Gruss on aperçoit le clocher de la première église place du marché sur cette carte de 1899
Au centre au-dessus du G de Gruss on aperçoit le clocher de la première église place du marché sur cette carte de 1899

Au centre au-dessus du G de Gruss on aperçoit le clocher de la première église place du marché sur cette carte de 1899

Le 5 août 1906, arrivée de l'abbé Christophe SEIWERT (Vicaire) Sa date de départ n'est pas mentionnée. Le 4 septembre c'est l'abbé Charles Alexandre-Albert KÜGLER qui arrive à Algrange. Il repart en 1910.
Le 11 août 1909, le Conseil de Fabrique sollicite Monseigneur BENZLER d'accorder un troisième titre de vicaire à la paroisse:
  • " Vu l'accroissement de la population s'approchant de 10.000 habitants,
  •   Vu que l'église est trop petite pour le nombre de catholiques: une messe en latin y serait utile,
  •   Vu le nombre élevé dans nos écoles: afin de pouvoir dispenser au mieux l'enseignement   religieux."
En 1909, débutèrent les travaux de la construction de la Maison de la Sainte Famille. (rue Marie DOUCHET) Le 11 février 1910, ouverture de cette Maison de la Sainte Famille et fondation des sœurs de la Congrégation de saint Vincent de Paul.
Le 1er août 1910, arrivée de l'abbé Paul-François GAERTNER (vicaire) en remplacement de l'abbé KÜGLER.
Le 10 septembre 1911, arrivée de l'abbé Jean-Nicolas ADAM.
Le 3 août 1911, arrivée de l'abbé Jean-Pierre LOSSIN.
Le 1er janvier 1915, arrivée de l'abbé Henry LEROY.
Le curé Pierre-Mathias LAY avec son parapluie et l'abbé Jean-Pierre LOSSIN de sortie vers Budange en 1912

Le curé Pierre-Mathias LAY avec son parapluie et l'abbé Jean-Pierre LOSSIN de sortie vers Budange en 1912

Le 7 janvier 1912, vu l'état défectueux du vieil orgue racheté à la paroisse de Hayange en 1894 et la chaleur exceptionnelle de l'été 1911 qui le mit hors d'usage, et pour éviter de nombreuses réparations très onéreuses, on décida de le transformer. Il fut confié aux facteurs d'orgues HOCK de Saarlouis pour la somme de 4000 marks. Il fut doté de 22 jeux répartis sur deux claviers manuels et d'un pédalier doté d'un système à traction pneumatique.

 

La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918
La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918La paroisse catholique d'Algrange - De 1880 à 1918

Le 14 juin 1915, l'abbé Pierre Mathias LAY décède à Algrange. Ses obsèques furent célébrées en grandes pompes le jeudi 17 juin 1915, en l'église saint Jean-Baptiste. Sa dépouille mortelle traversa les rues d'Algrange en direction de la gare pour être transféré dans son village natal.

Enterrement du curé P.M. LAY le 17 juin 1915 dans les rues d'Algrange jusqu'à la gareEnterrement du curé P.M. LAY le 17 juin 1915 dans les rues d'Algrange jusqu'à la gare
Enterrement du curé P.M. LAY le 17 juin 1915 dans les rues d'Algrange jusqu'à la gareEnterrement du curé P.M. LAY le 17 juin 1915 dans les rues d'Algrange jusqu'à la gare

Enterrement du curé P.M. LAY le 17 juin 1915 dans les rues d'Algrange jusqu'à la gare

- Jean-Pierre WELFERINGER: (de 1915 à 1918)
Suite au décès de l'abbé Pierre Mathias LAY, c'est le professeur Jean-Pierre WELFERINGER qui est nommé curé administrateur de la paroisse d'Algrange le 15 juin 1915. Lorsqu'en 1918, l'armistice sonna, ce prêtre quitta Algrange pour retrouver son poste de professeur au petit séminaire de Montigny.    
Né à Basse-Contz en 1877, ordonné prêtre en 1902, après plusieurs années d'études universitaires, il fut nommé professeur de lettres à Metz, puis au Petit Séminaire de Montigny les Metz. Il fut administrateur de la paroisse d'Algrange de 1915 à 1918, puis de celle de Fameck. Il revint au Petit Séminaire de Montigny en 1923. Pendant la guerre de 1939/45, il administra la paroisse de Morhange et en 1945 il devint aumônier de la Maison-mère des religieuses de saint Jean de Bassel. De 1950 à 1965, date de son décès, il vécut chez son neveu à la cure d'Uckange.  
Avant la fin de la première guerre mondiale, une ordonnance émanant du Ministère de la guerre, datée du 1er mars 1917, ordonnait la réquisition des cloches en bronze. La plus petite, d'une hauteur de 0,79 mètre, d'un diamètre de 0,79 mètre, d'un poids de 310 kilos, avec un ton DO, portait comme inscription sur 3 lignes, chacune entre deux filets, au-dessous, un filet avec deux têtes d'anges ailées, deux feuilles d'acanthe et quatre lis héraldiques, lettres de 2 cm, le texte, précédé d'une croix latine porte: 
" L'an 1821, j'ai eu pour parain et maraine Jean FRANTZ, maire d'Aulgrange, Marguerite GILLE, Nicolas WEIDICH, Marie STEICHEN, Jean ROBERRE, Marguerite SCHELCERT, Pierre GILLE, Franscoise BARBE, Louis MULLER adjoint".  
Le mouton avait dû servir pour une cloche plus ancienne est daté de 1805
Jusqu'à la construction du clocher de l'ancienne église en 1830, cette cloche était suspendue, à l'extérieur, à une poutre à côté de la sacristie. Elle ne fut pas réquisitionnée en 1917, mais laissée à la paroisse. 
La deuxième et la troisième cloche furent enlevées le 7 juillet 1917.
La deuxième cloche " Barbe " avait un diamètre de 0,90 mètre, pesait 440 kilos, avait le ton LA, et avait été bénie par l'abbé VERNET, curé desservant d'Algrange, le 4 décembre 1892.
les cloches enlevées le 7 juillet 1917. A gauche Marie-Louise et à droite Barbe

les cloches enlevées le 7 juillet 1917. A gauche Marie-Louise et à droite Barbe

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M
Bonjour! Quel bel article aujourd'hui! Il m'a fait des frissons tellement c'était beau! C'est assez incroyable quand on s'imagine Algrange tellement différent... Merci infiniment pour cet agréable moment! Bonne journée!
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M
<br /> je viens de parcourir votre blog, j'en déduis que vous êtes dans l'ancienne Lorraine annexée par l'Allemagne, en voyant le petit texte sur la nomination de l'Abbé de Jerphanion.<br /> Personnellement, j'habite et je suis née à Coucy-le-Château dans l'Aisne, mais Maman a quitté Villerupt en mai 1940, s'est mariée début 41 et est revenue à Coucy dans le pays de son mari en 1943 où<br /> elle est restée.<br /> Par l'intermédiaire du gardien du château de Coucy, auquel s'était adressé votre abbé, j'ai pu lui donner des renseignements, mais j'aurai aimé pouvoir échanger directement avec lui. Pourriez-vous<br /> lui transmettre mon mail et mon adresse mail.<br /> Merci à l'avance et bravo pour votre blog. J'ai tapé sur google " abbé de Jerphanion paroisse saint Jean-Baptiste " et je suis tombée dessus. Les miracles de l'informatique.<br /> Mme Michèle Lefèvre-Tranchart<br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> j'ai retransmis votre mail<br /> <br /> <br /> Bonne journée<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> Concernant votre article sur la bénédiction des cloches dans les années 1947, vous faites mention d'une marraine nommée Catherine Pefferkorn. Pouvez-vous me donner de plus amples renseignements sur<br /> cette personne.<br /> Je fais de la recherche généalogique et j'ai plusieurs Catherine Pefferkorn dans ma famille et plus spécialement une soeur de deux prêtres Adam et Henri PEFFERKORN. Aurait-il un rapport avec la<br /> fonction de marraine et le lien de famille avec l'un ou l'autre des prêtres. Je ne pense pas qu'une Catherine PEFFERKORN habitait Algrange. Dans l'attente d'une réponse de votre part, recevez<br /> monsieur mes respectueuses salutations<br /> (02/10/2010)<br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Pour ce qui est de la marraine c'est ce qu'il y a de retranscrit dans les notes paroissiales.<br /> <br /> <br /> Pour ce qui est de savoir le lien de parenté ou s'il elle habitait Algrange il faudrait faire des recherches généalogiques à l'état-civil de la ville.<br /> <br /> <br /> <br />
R
<br /> Bonjour Monsieur SEBBEN<br /> je trouve votre site très bien fait au vu des nombreux articles qui sont très riches d'informations. Je suis descendant d'algrangeois, arrière petit-fils de Mathilde RENAUX qui était 3 ème ou 7ème<br /> ordre sur l'église d'Algrange ( civil qui vivait comme une Soeur et qui était habilitée pour faire des exorcismes) et de Philippe REIFFERS = les parents de Pierre mon grand-père paternel<br /> (électricien et musicien à la fanfare (mort le 15/09/1944 à la mine de Metzange). Je fus très content de voir le visage du pasteur qui a confirmé ma grand-mère paternelle Frieda HAUTTER en 1925 =<br /> fille de Caroline LEDRICH et de Louis HAUTTER, je ne possède aucune photos...A part son missel protestant.<br /> Toutes les photos sur votre blog me font voyager dans le temps....et une m'a plus particulièrement arrêtée. Celle de l'équipe qui a changé le coq en 1952. Mon regard s'est posé sur l'homme qui est<br /> à gauche de Jean-Pierre REDELSPERGER (second plan), car je lui trouve un air de famille REIFFERS, et Elise RENAUX était-elle une branche de ma famille????Ma question est la suivante, pouvez-vous<br /> m'aider???? Car je construis mon arbre généalogique et les informations m'aideront dans ma vie de tout les jours. Grâce à vous je sais qu'à chaque Sainte Barbe de Sapeurs Pompiers, je rends hommage<br /> à mon grand-père. Aujourd'hui j'habite en Bretagne et le blason de ma commune est un griffon jaune. Drôle de coïncidence. Je tiens à vous dire merci pour le précieux travail effectué et qui a fait<br /> la lumière chez moi.<br /> Mes cordiales salutations<br /> Laurent REIFFERS<br /> ((13/12/2010)<br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Je vous envoie un mail pour vous mettre en rapport avec des memebres de votre famille algrangeoise.<br /> <br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> <br />